En 2067, la maison close Anko ouvrit ses portes avec l’espoir de percer dans ce commerce de chaire. Décoré luxueusement avec ces fabuleux masques vénitiens, qui devinrent l’emblème du commerce et qui reste encore aujourd’hui un élément clé de la décoration de la boutique, l’établissement connu un certain succès avant que la maladie ne s’attaque aux femmes. Privé de ses employées les chiffres d’affaire commencèrent à chuter et il fallut remplacer les femmes par de jeunes hommes, seulement cela n’avait pas le même succès. La population masculine encore sous le choc n’avait pas encore fait le deuil de l’hétérosexualité. Une dernière idée pour sauver l’établissement, la vente d’objet pour le plaisir personnel. C’est ainsi que la maison close fut réaménager en boutique érotique et prospère jusqu’à ce jour.
Se situant dans la tour centrale, près de plusieurs autres commerces, la boutique offre à la fois une localisation et une discrétion pratique. À l’intérieur l’ambiance est tamisée pour garder les clients dans une atmosphère chaleureuse et mettre à l’aise les plus timides. Il y a plusieurs fauteuils ou l’on peut se mettre à l’aise pour discuter et les murs sont décorés avec des masques vénitiens d’époque. La boutique est divisée en section thématique pour que ce soit plus simple de se repérer et de repérer ce que l’on cherche. On trouve au fond de la pièce le comptoir et la caisse qui donnent accès à l'arrière de la boutique et avant cela plusieurs rangées de tablettes sur laquelle reposent les différents objets en vente. Les employés savent bien conseiller leurs clients et parfois peuvent offrir une démonstration aux habitués… ou à ceux qui payent un petit extra, en privé. La boutique Anko ne possède pas de brevet sur les différents produits offerts, mais garantit une qualité de choix sur les produits.
2067 – Ouverture. 2070 – Perte de ses employées de sexe féminin et remplacement de celles-ci par des hommes. 2071 – Reconversion en boutique érotique. 2212 – Succession au fils. 2342 – Succession au petit fils, père de Louka, qui prévoit sa retraite dans 15 ans et passera la boutique à Louka.
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